Les interviews Planète Rugby


Jean-Pierre GARUET

"Il faut être gaillard"

6 Juin 2001, 18h45, Lourdes (65) - Paris (75)

Propos recueillis par Philippe Morin



Le Mercredi 6 juin 2001, trois jours avant la finale du championnat de France,
Monsieur
Jean-Pierre GARUET, ancien pilier droit de l'équipe de France, de 1983 à 1990, accordait
une interview exclusive à Planète Rugby.



Jean-Pierre GARUET
, en bref
:

Né à Pontacq (64), le 15 juin 1953, Jean Pierre GARUET a toujours été fidèle au Football Club Lourdais. Ses quarante deux sélections en équipe de France, de 1983 à 1990, ses sept tournois des cinq nations (21 matches joués sur 28), à l'une des époques les plus brillantes du Rugby Francais, font du successeur de Robert Paparemborde au poste de pilier droit de la mélée du XV de France, l'un des témoins privilégiés des mutations du rugby à une des époques charnières de son évolution.
Ancien manager des moins de 21 ans, il a participé à révéler un certain nombre des joueurs actuels de l'équipe de France. Actuel adjoint au Maire de LOURDES (65), Jean Pierre GARUET, élu par la presse, il y a quinze ans, comme le "meilleur pilier droit du monde", demeure l'un des grands hommes du rugby international.



Quel est votre
meilleur et votre pire souvenir de match ?

Les stades qui vous ont impressionné ?

Quelles sont, actuellement, vos activités professionnelles et politiques ? Quelles sont vous responsabilités dans le monde du Rugby:

- à la fédération ?

-au sein du Football Club Lourdais ?

Avez-vous toujours chez vous votre materiel de musculation ? Quel sport pratiquez vous actuellement ?

Vous interessez-vous au Super 12 ? On parle beaucoup de polyvalence des postes actuellement.
Vous-même et Monsieur Paparemborde avez été parmi les précurseurs d'un jeu où les piliers sont devenus, d'avantage que précédemment, des manieurs de ballons. Quelle vous parait être la limite de cette polyvalence ?

Autoriser la poussée en mélée pour les jeunes: Vous y êtes favorable. Comment éviter l'accident ?

Avez-vous une explication quant au recrutement massif, en Division 1, de joueurs de première ligne issus d'Argentine ou d'Italie ?
Est-ce un problême de formation ?


Propos recueillis par
Philippe Morin


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